À Merzig, un renard nous a souhaité bon voyage !
Nous avons navigué sans problème jusqu'à Saarlouis. Sans problème, malgré le courant encore fort et les innombrables cochonneries qui flottent sur la rivière et surtout dans les écluses.
| Tant que ça flotte, on ne risque pas grand-chose ! Mais sous l'eau ?… |
| Et monsieur surveille mais ne dit rien ! |
| Quant à l'équipage, il pose !… |
Arrivés à Saarlouis sur un ponton vide (la halte n’ouvre vraiment que le 4 avril) mais occupé par l’équipage d’un « dragon boat » qui s’entraîne. Nous partageons quelques présents avec cette tribu autochtone : ils nous offrent quelques échantillons de leur pique-nique et nous leur offrons une boîte de pâté périgourdin. Puis nous partons visiter l’endroit.
| « Comme je descendais les fleuves impassibles…» |
Drôle de nom : Saarlouis, d’après Louis XIV ; pourquoi pas une Kaiser-Guillaume ville en France ? ou une Adolpheville ?
Enfin, il reste des fortifications à la Vauban et une ville de garnison aux rues plus d’équerre que dans une bastide du Sud-ouest. Comme c’est la première fois qu’il fait beau ET chaud de l’année (27° !) les rues sont noires de monde et de terrasses de cafés.
| Ce que fait le soleil… |
En revenant du centre ville, au sortir d’un parc, nous cherchons notre chemin. Ah ! un panneau indicateur… qui nous est très utile !
Nous repartons demain.
| Ah ?… Bon. |

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