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jeudi 30 octobre 2008

7 d'un coup !

La citadelle de Namur et l'embouchure de la Sambre

L’écluse des Grands-Malades étant réparée à l’heure prévue (bravo les Voies Hydrauliques Belges !) nous avons quitté Beez (prononcez Bé) assez tard malgré tout à cause d’un épais brouillard qui, avec le froid, nous offrait un vrai temps de novembre. Cette écluse est d’une très grande taille et nous étions six (!) à profiter de l’éclusée. Il nous a fallu attendre malgré tout plus d’une heure, ce qui a retardé nos prévisions pour la suite de la journée.


Le vertige, moi ? Jamais !...

À la sortie de l’écluse vint le temps de la grande décision. Nous avions changé nos plans, souvenez-vous, à cause des fermetures (chômages) des écluses sur la Meuse française. Mais ayant perdu trois jours, nous sommes pratiquement raccord avec la date de réouverture : 30 octobre et donc, nous ne connaîtrons pas les charmes de la Sambre (charmes très limités nous a-t-on dit : « c’est Chicago-sur-Sambre si vous voyez ce que je veux dire et la Meuse est beaucoup plus belle »).


Enfin des écluses à hauteur d'homme !

Nous avons eu, jusqu’à maintenant raison de suivre l’avis des locaux. La Meuse est superbe après Namur. Bordée de collines escarpées et couvertes de forêts mordorées, elle serpente entre d’adorables villages aux maisons de poupée avec parfois une colline de calcaire blanc qui joue à se donner des airs de rives de Lot ! d’autant qu’après l’épais brouillard matinal un superbe soleil est monté au créneau pour nous offrir un vrai temps de vacances.

Château surprise (pas sur la carte !)

Quoique... Nous avons navigué pendant 7 h 30 et passé sept écluses ! Oui, mesdames et messieurs, vous avez bien lu : 7 ! C’est notre record. D’ailleurs, il sera bientôt battu, mais laissons le futur à l’avenir... Nous sommes arrivés à la nuit (18 h00) à Dinant. Satisfaits du travail accompli (pas vraiment des vacances !), nous sommes allés « Chez Bouboule, le roi des moules » et nous nous sommes régalés. Qu’on se le dise, les bonnes moules sont chez Bouboule - de Dinant !


Les rives du Lot sur Meuse !

mardi 28 octobre 2008

où c'est-i qui sont ?

D'accord, la Meuse, c'est toujours la Meuse aux eaux glauques, même si elle commence à être plus étroite et ses écluses à être à taille plus humaine, mais quelque chose a changé. Le ciel ? Non, toujours bleu du Nord traversé de nuages gris, ou gris cotonneux déchiqueté de culottes de gendarme déchirées ; Les maisons ? oui, de plus en plus souvent en pierre, mais toujours avec un côté nostalgique et triste de celles qui voudraient être ailleurs. Le paysage ? Oh, la, la ! oui. Ici, la Meuse coule entre des collines arborées que l'automne roussit et maintenant que nous sommes sortis des zones industrielles de Liège, nous pourrions parfois nous croire dans quelque coin du Périgord. Mais tout ça ce sont des détails. Ce qui a vraiment changé c'est qu'on ne voit plus nos amis les oiseaux. Où sont les cygnes et les foulques, les oies et les bernaches, les poules d'eau et les grèbes huppées ? Il nous reste quelques noirs cormorans qui jouent à Frankestein en ouvrant à demi leurs ailes pour les sécher dans la brise froide, quelques mouettes égarées qui ne retrouvent plus le chemin de l'océan et deux ou trois canards, qui font ressentir encore plus l'absence de ces foules volantes qui nous entouraient aux Pays-Bas.

De loin en loin un couple de cygne, hautains, indifférents cherche sa nourriture le long des quais abandonnés. Ils sont tristes parce qu'ils ont oublié qu'ils pourraient aller voler ailleurs.

Et puis, soudain, comme sortis d'une pochette surprise, au coin de quai d'un petit port lové au creux de falaises abruptes (falaises classées précisent les guides) une bande d'oies blanches qui, voyant Fabi s'approcher d'elles un bout de pain à la main se précipitent comme pour l'avaler toute crue ! Dans la troupe, nous remarquons une drôle de bestiole, mi-oie mi-canard, une chimère sortie d'un laboratoire de manipulation génétique ou une fantaisie de la nature ? Peut-être plus simplement une sorte d'oie canardière ou de canard oiseux que nous ne connaissons pas. Et vous, vous connaissez ?

Les réparations sur l'écluse avancent et la radio indique toujours le milieu de la semaine prochaine comme fin des travaux. De Beez (prononcez Bé) nous irons à pied à Jambes (banlieue de Namur) pour y faire quelques courses.

dimanche 26 octobre 2008

La Meuse à nous

La Meuse est à nous, et à nous tout seuls ! Je vous jure que je n'y suis pour rien, mais hier matin, partis à neuf heures du petit port de Statte à Huy, nous nous sommes retrouvés seuls, tout seuls dans une grande écluse ouverte exprès pour nous, puis, sur la Meuse, toujours tout seuls. Un miracle ? Non, une catastrophe !... Figurez-vous que l'écluse de Namur « Les grands-malades » (la bien nommée !) est en panne. Une des portes fonctionnait mal et il faut la réparer. Pour cela, on a baissé le niveau de la rivière d'1 m 50 et tous les « commerces » qui ont un tirant d'eau trop important ont été obligés de s'arrêter. Il y en a pour cinq jours environ.
La Meuse à - 1,50 m

Nous nous sommes donc avancés au maximum. Le petit port de Beez (prononcez : Bé !... Eh oui…) est à trois km de Namur. Nous allons profiter de ce temps d'inactivité pour nettoyer Ivanka, visiter Namur, et « prendre du recul » (c'est l'expression choisie par Fabi pour exprimer le temps libre qu'on possède quand on prend sa retr... quand on prend du recul, donc !) et préparer notre itinéraire.
En effet, il est possible que nous prenions finalement le chemin prévu dès le début mais que nous avions changé à cause des « chômages » des canaux.

Port de Beez. Attaquée par des oies sauvages et affamées !

jeudi 23 octobre 2008

C'est une ville…


L'entrée du port à 3 h 00 du matin


« d'amis » ? .. pas de repas d'affaires, alors…


Des rues à la Simenon…

Liège est une ville.
Une grande ville.
Et nous ressentons de plus en plus le besoin d'être dans la nature, à la campagne. Ici, sortir faire une course qui ne prend qu'une demi-heure nous épuise pour le reste de la matinée, alors que faire une marche de deux ou trois heures en campagne nous fait ressentir la saine fatigue qui rend encore meilleur le bon thé bien mérité.

Le port de plaisance est bien situé, facile d'accès, pas très cher, mais malgré tout nous serons contents de partir demain dans la matinée. Nous allons vers Namur mais nous nous arrêterons sans doute avant pour faire escale. À la campagne ?

mercredi 22 octobre 2008

Des pommes, des poires et des...boulets de Liège !


Donc, ça y est ! Nous y avons goûté à ces boulets de Liège!
Imaginez deux boulettes de viande de la valeur d'une petite orange servis sur un lit de sauce sombre, couleur caramel, courte et sirupeuse.
Comme nous avait averti un des membres de la capitainerie lorsque nous avions demandé quelques explications : "c'est la sauce qui fait tout!"
Effectivement, les boulets en eux mêmes sont faits d'un hachis de viande et de mie de pain, entre autres ingrédients, mais la sauce est aigre douce et on ne peut en deviner immédiatement la composition. Heureusement nous n'avons pas cherché longtemps puisque Françoise et Jean-Pierre qui nous les ont fait connaître nous ont donné le truc : la sauce est faite à base de ce que nous avions déjà découvert en Hollande auprès de Claire, c'est à dire de sirop de pommes et poires. Le jus des fruits est mis à réduire et donne un sirop épais très proche d'une confiture ou d'une gelée, très agréable à manger le matin au petit déjeuner. Ici, on appelle ça le « sirop de Liège ». Nous avions déjà le projet d'en mettre quelques pots en réserve dans la soute pour ramener en Périgord et cette idée de s'en servir en cuisine ne fait que le confirmer.
Bon alors qui en veut???????????
( je parle du sirop de poires et pommes bien sûr!)

p.s. de Pierre : c'est un plat que je dirais… roboratif, et idéal par ces fraîcheurs automnales qui arrivent. Merci aux Liégeois !

21 octobre : Première


Maastricht, rive droite


Maastricht, rive gauche


pensées à vélo (Maastricht)

C'est une première : en passant l'écluse Lanay (14 m de chute !) nous sommes sortis des Pays-Bas et une pointe de nostalgie nous fait dire que nous y reviendrons… un jour !

En attendant, sous un ciel bas et trempé (un changement après ces plus de deux semaines de temps quasiment estival) nous avons quitté la belle ville de Maastricht, ses rues pittoresques, ses boutiques de luxe, ses sculptures, ses parcs et, à noter, un accès au quai pour "yachts" de passage absolument dégueulasse que je vais indiquer à l'office de tourisme dès que j'ai plus de cinq minutes de connexion.

écluse de Lany, 14 m de haut !...

Et puis nous sommes entrés dans cette impressionnante écluse de Lanay tout de suite après le départ et nous avons pénétré en même temps, à la fois et simultanément en Belgique et dans le canal Albert. Ces ouvrages d'art sont toujours impressionnants par leur gigantisme. Quel travail !

Ce soir nous sommes invités à manger des « boulets de Liège »… suspense !… On vous dira tout !

Port de Liège

P.S. Réponse à la devinette précédente : C'est dans la région de Maastricht que fut découvert le plus vieux dinosaure d'Europe et c'est au cours du siège de la même ville que d'Artagnan (le vrai, âme damné de Mazarin, geolier de Fouquet, homme à tout faire de Louis XIV...) mourut.

dimanche 19 octobre 2008

Dinosaure et d'Artagnan


DeWessem à Maastricht

Le chemin est tout tracé : le canal Juliana. Notre premier canal ! Jusqu’à maintenant nous naviguions sur une rivière canalisée, certes, mais une rivière, avec son côté nature, ses oiseaux par centaines, ses arbres, ses moulins, ses fermes, ses prés... comme dit notre ami Hein, « La Meuse, c’est varié »... et Hein a toujours raison : le canal Juliana est beaucoup plus monotone, plus rectiligne, avec comme seuls animaux des pêcheurs moroses et une dame qui promène son chien...



En revanche, des écluses impressionnantes de hauteur : 7,50 m, 9,85 m !... des gouffres, surtout quand on est en bas !... Avec l’impression bizarre qu’une voix désincarnée fait tout fonctionner. Personne de visible, une voix, en anglais : l’écluse de droite, et on y va. Pas même une silhouette à qui adresser un signe de remerciement et d’adieu. Le monde moderne.


Puis Maastricht, quai des voyageurs de passage.



Maastricht... Que ceux qui ont une idée du pourquoi du titre lèvent la main !

Maastricht, une ville. Nous avons réalisé, en pénétrant dans les rues qu’il y avait longtemps que nous étions... à la campagne, dans la nature ou dans les petits bourgs hollandais : un monde !... Mais d’après la spécialiste, de très belles boutiques, de vêtements, de chaussures (Ah ! les bottines turquoises !...), de bijoux. Une vraie et belle ville, quoi !




Mais ce soir nous sortons au restaurant. À bientôt !

vendredi 17 octobre 2008

Venlo


Port de Venlo


Levés assez tôt (vers 6 heures… et il y en a qui croient que la retraite c’est tranquille !) nous sommes partis de Boxmeer, ce charmant petit port noyé dans la nature, vers 9 h 30 . Hein est venu nous voir, nous apportant ces sacrés bactéries qui doivent (croisons tous les doigts, SVP) refaire fonctionner notre fosse septique flottante, il a bu un café, nous avons parlé de Venlo et des possibilités des différents ports de plaisance, et, après un bref serrement de main, il est parti dans la nuit. Le reverrons-nous ?

Les six heures de voyage se passèrent sans incident. Nous étions seuls dans la petite écluse de 160 m de longe de Sambeek et, grâce aux conseils de Hein, encore une fois, le passage s’est déroulé sans problème. Beaucoup d’oiseaux tout au long du voyage, des oies qui se préparent à partir au chaud, un superbe vol de cygnes en rase-motte au-dessus d’Ivanka et nous sommes arrivés à Venlo, ville de quelque importance ( surtout en venant de Mook et de Boxmeer !). Mais bon, le port est situé au pied d’un mur de palplanches sinistres, une passerelle (piétons, cyclistes et scooters) nous passe au-dessus de la tête et, pour célébrer notre arrivée, une bourrasque de grêle ! Et pas de connexion internet !


Vue du pont



Heureusement, des canards affamés et quelque « malades des hommes » se sont précipités vers nous. L'un d'eux a même volé jusqu'à la hauteur de la main de Fabi avant de sauter sur Ivanka !... Je l'ai chassé : les oiseaux font des crottes très acides !...
Sauf événement - météorologique ou autre - nous repartons demain.

mercredi 15 octobre 2008

Le jour du Héron.


Vague d'étrave

Nous sommes partis, - j’ai envie de dire au petit matin comme tous les départs des grandes aventures, mais il était 9 h 00. Une température étonnamment douce pour la saison et un ciel gris, mais calme, annonçaient une journée idéale pour notre première étape.


Cuijk, son bac, son église…

Et juste avant la sortie du canal des lacs de Mook (où se trouve Plasmolen), le premier héron s’est envolé à notre approche. C’est un bon signe, dit Fabienne. Et des bons signes nous en verront dix dans la journée, ce qui est beaucoup si l’on considère qu’au port de Plasmolen nous n’en vîmes jamais.
Évidemment il vous faudra me croire car rien n’est plus difficile à photographier qu’un héron qui prend son envol, surtout lorsque vous barrez une péniche en même temps et que vous n’êtes pas seul sur la Meuse. Nous avons croisé quelques péniches imposantes dont un énorme porte-containers.


Un porte-container gros comme
un cargo de mer !


Puis nous sommes entrés dans un bras mort au fond duquel quelques pontons et un club-house désuet nous accueillirent au milieu des cygnes, des foulques, des poules d’eau et... des hérons, évidemment. Petit voyage de deux heures, mais prélude à d’autres étapes qui seront souvent plus longues.
Les photos de Boxmeer viendront plus tard.
Petit tour en ville pour se repérer et faire quelques courses, trouver une connexion internet, et voilà ! La journée est finie.

Nous sommes partis… alors que les oies sauvages et les bernaches s’entraînent encore…


note à l'intention de ceux qui s'imaginent que c'est drôle l'internet : je suis debout au carrefour d'un village, Beugen, le MacBook posé sur une haie, dans les courants d'air avec les habitants qui passent en me jetant des regards curieux... tout ça pour vous tenir au courant !... Pensez au pauvre internaute expatrié !

dimanche 12 octobre 2008

de plus en plus...

Alors là, depuis hier, samedi, on le sent vraiment le départ !... nous avons acheté un pavillon belge (en fait, deux, car les règlements wallons exigent d’arborer un pavillon rouge à carré blanc central quand on navigue). Puis nous sommes allés remplir le réservoir à gaz-oil. Une manœuvre dont nous nous sommes bien sortis. Puis, revenus à quai, mais dans l’autre sens, l’avant vers le large humant l’odeur des embruns, des goélands et… bon, je m’emballe un peu là… mais disons qu’entre mardi et jeudi nous aurons quitté Plasmolen (je n’insiste plus sur la prononciation).
Enfin ! Je commençais à avoir l’impression de vivre dans une villa du bord de mer (d’où les embruns et les goélands, sans doute !…). Cela dit, nous n’irons pas loin, à une heure environ dans le petit port de Boxmeer, déjà connu, où nous attendrons - pas trop longtemps j’espère - les bactéries commandées pour faire repartir notre système interne de fosse septique.
Et j’oubliais la bonne nouvelle : après calculs savants, la consommation d’Ivanka est de 3 litres à l’heure. Ce qui est plus que raisonnable pour une péniche de cette taille.


Et la cambuse est pleine.

À suivre.

jeudi 9 octobre 2008

Dans notre assiette…



Ici, comme ailleurs, l’automne est la saison d’abondance. Fruits et légumes se trouvent, chers, sur les étalages des magasins, beaucoup moins chers à la ferme (qui vend quand même des noix… de Californie !) et se ramassent à la pelle au milieu des feuilles mortes : nous avons déjà eu notre soirée châtaignes.
Et puis il y a les champignons !…
Non, ne pensons pas aux cèpes périgourdins, mais on peut avoir de bonnes surprises. Tenez, ces deux champignons (jolis, non ?) ; un des deux a fini dans notre assiette.
Lequel ?




Sinon, les choses avancent lentement. Ce soir la vidange a été faite. Problèmes de démarrage (une bulle coincée dans le circuit ?), demain le mécano passe arranger ça. Nous aurions enfin trouvé l'adresse de l'importateur de bactéries de notre système de fosse septique flottante. Avec de la patience…

mercredi 8 octobre 2008

On recherche…


On recherche des filtres (huile et gaz-oil) pour pouvoir faire la vidange du moteur. Ceci fait, après avoir rempli le réservoir (200 l.) de gaz-oil, nous pourrons partir puisque les réserves de nourriture de base sont faites : pommes de terre, oignons, riz et spaghettis...
À part ça, tout va bien !


Les bébés cygnes viennent quémander un bout de pain (belle éducation !). Ils sont très drôles, aussi gros que leurs parents mais la plume grise et surtout un petit couinement très bébé qui surprend chez ces grosses bêtes. Et affamées : Fabi s’est presque fait manger un doigt !
Temps doux, mer calme, ciel gris... et nous comptons les oies sauvages qui s’entraînent à voler en V...
Le temps commence à être long, mais heureusement les « dents-de-loup » de Maryvonne et Armelle aident à garder le moral. Hélas, le stock baisse… il faut partir !

dimanche 5 octobre 2008

5 à 6

Cette nuit le vent à soufflé, 5 à 6 Beaufort. Et ce matin, ça continue. La pluie ne cesse pratiquement pas. Quelquefois en petites gouttes, quelque fois en rideaux d'eau : on se croirait en Hollande en octobre ! ;-)
Un temps trop mauvais pour faire quoique ce soit, sinon lire, écouter France Inter en balado-diffusion (podcast) et regarder un film sur le Mac... Tranquille !

vendredi 3 octobre 2008

Fourbus, brisés, par le voyage et surtout le poids des valises, nous sommes arrivés. Curieux voyage, l'inverse du dernier accompli : personne dans l'avion et à l'aéroport, et le bus qui nous conduisait de la gare de Nimègue à Plasmolen, plein à craquer de lycéens ! L'un était au mois d'août, l'autre en octobre.

Autre chose qui nous rappelle que nous sommes en octobre : demain matin il fera 4° au lever du soleil et le thermomètre montera jusqu'à 12° !
Ah ! quand même !…