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vendredi 17 août 2018

on y Ouigo ou on n’y Ouigo pas ?

  Vous savez sans doute  que l’un des changements fondamentaux qu’a récemment effectué la SNCF a été de changer de nom : son site n’est plus voyages-sncf.com mais Ouigo.sncf. Pourquoi pas, mais si vous êtes, comme moi, un béotien, attention !
Oyez, oyez la triste histoire d’un béotien, comme vous, empêtré dans les lacs de la ouigoterie cheminote…
Depuis l’Ivanka, par internet, sur le site de Ouigo.sncf, je commande des billets pour rentrer chez nous. Dans le choix qu’on me propose, je repère les horaires qui nous conviennent et bientôt je suis l’heureux e-possesseur de deux e-billets pour aller de Cambrai à Paris, de deux e-billets pour aller de Paris à Bordeaux et de deux e-billetspour aller de Bordeaux à Périgueux.  J’ai payé par CB. Je suis content
Pour laisser à tous ces petits électrons le temps de trouver leur place et de me faire ça bien, j'attends quelques jours avant de vérifier sur la page que j’ai créée sur le site de Oui.sncf si mes billets sont bien présents. Rien. Pourtant j’ai reçu une confirmation par courriel, dans laquelle on me signale que je recevrai mes e-billets quatre jours avant la date de départ. 
Quatre jours avant notre départ je reçois mes billets par courriel. C’est alors que j’apprends, en lisant les petites lignes qu’on ne lit jamais, qu’ayant choisi un trajet avec Ouigo (moins cher)  je n’ai droit qu’à un bagage cabine et un sac et que je dois être impérativement sur le quai 30 minutes avant le départ. Comme un avion sans ailes… Donc, a priori, devant aller de Gare du Nord à Montparnase, nous allons rater notre train, parce que je n’avais pas prévu, n’en étant pas informé, cette marge de 30 mn. J’apprends aussi en lisant le courriel que je dois impérativement imprimer mes billets. N’ayant pas d’imprimante sur le bateau (quoi ? pas d’imprimante sur un bateau ? Quel plouc vous faites !) je crois que nous allons rater tous les trains !…
La veille de notre départ, je vérifie sur ma page dans le site Oui.sncf, toujours rien. Du coup j’appelle un numéro de téléphone trouvé sur la confirmation d’achat de mes billets. C’est une gentille jeune fille (la voix est très jeune) qui ne trouve pas non plus mes billets et qui me conseille d’appeler un autre numéro – qu’elle me donne – pour éclaircis-sements. J’appelle. J’arrive chez Oui.sncf.
  Non mais pourquoi vous m’appelez, ce n’est pas Ouigo ici, c’est la SNCF ! … et je me fais sermonner fermement par une dame qui, devant ma réaction indignée menace de raccrocher si je ne me calme pas. Elle même calmée (un peu) m’explique que Ouigo, c’est de la merde (j’interprète), c’est comme “Cora” comparé à “Carrefour”, une sous-marque de la SNCF (je n'interprète plus) et je ne peux rien faire pour vous, bonne journée…
Je vérifie mon relevé de banque. Je n’ai pas été débité de la somme du prix des billets.  Par sécurité, j’achète des billets de petites lignes (Cambrai-Paris et Bordeaux-Périgueux) sur le site Oui.sncf qui m’informe que si j’ai la carte Voyageur (je l’ai) mes billets vont s'enregistrer dessus sans aucune manip de ma part. Chouette ! Je trouve enfin  le gentil Jean-Marc, chez lequel l’Ivanka va se refaire une beauté, qui m’imprime les billets Ouigo. Parés !…
Pendant le voyage, aucun des contrôleurs n’a été capable de trouver nos billets avec leurs petites machines bizarres, mais, prudent, j’avais une photo de tous les billets achetés, des confirmations de paiement, etc., des références, etc. etc. et si une contrôleuse a su nous trouver par nos noms, les autres ont laissé tomber, découragés.
Donc, non seulement le client est mal renseigné sur le site ou par téléphone, ou informé trop tard, mais les contrôleurs eux-mêmes sont incapables de vérifier si vous avez bien acheté un e-billet ! On n'était même pas sur ma carte voyageur, manip ou pas.
Remarque : pour arriver une-demi heure avant le départ du train (rappel : ce dont je n’étais pas informé lors de l’achat du billet) nous avons pris un taxi, ce qui réduit nettement l’intérêt d’un train à prix réduit (!) et sommes arrivés à la gare Montparnasse-Vaugirard avec 5 mn de retard mais pas les derniers.

Finalement, nous sommes bien arrivés mais je me dis parfois que la concurrence est peut-être une bonne chose…

dimanche 12 août 2018

Dernière étape

      Nous avons acheté une vignette pour une journée de navigation puisque nous allons de Mortagne du Nord à Bassin-Rond et que tout le trajet est en France. 68,5 €, pour une journée, disons que ce n’est pas donné, mais on se doute que ce n’est pas avec nos contributions de plaisanciers que VNF peut entretenir les énormes écluses de l’Escaut. 
Nous sommes partis tôt ce matin car la route est longue. Il pleut. Il pleut de plus en plus fort tout au long de la journée et, autant le dire tout de suite, la pluie ne s’arrêtera vraiment qu’après notre arrivée. Au départ, nous sommes seuls sur un large fleuve, mais bientôt nous serons rattrapés par des commerces. Dit comme ça, ça n’a l’air de rien, mais quand on est comme le matelot, quand l’eau n’est pas votre élément préféré et que la taille des trucs qui flotte vous impressionne, ça fait quelque chose.

Comme ça, on ne dirait pas…


… mais c'est vraiment gros !
Nous voilà bons derniers pour passer la première écluse. Il y a deux péniches de 60 m. et quelques et une de 90 m. et quelques de long. Les écluses ici étant d’une longueur de 140 m, il nous reste de la place. Très vite, l’Aude, propriétaire hollandais, nous propose de nous mettre à couple. Ça nous évite de rester sous la pluie à tenir les amarres. Sympa ! On s’amarre sur leurs bollards et on va se mettre à l’abri. L’Ivanka monte, comme l’écluse se remplit, en même temps que les péniches. Et ça permet de papoter un peu avec les voisins. 

À couple dans l'écluse.
C’est une première pour nous de naviguer de conserve avec des commerces et de bassiner avec elles. Avec un peu d’imagination on pourrait se croire aussi gros qu’elles !

Naviguer de conserve en convoi : on se sent moins seul.
Le commerce de gauche est avalant alors que nous sommes montants.
Hélas, pour la dernière écluse, surprise : une grosse encore plus grosse – doit bien faire dans les 11 m de large ! – attendait déjà pour prendre l’écluse et là, la place manque même pour une petiote comme l’Ivanka. Qu’à cela ne tienne, nous attendrons, à couple du Popeye qui ne fait que 65 m. Petite causette avec le jeune patron qui nous parle de ses problèmes professionnels. Il semble qu’en ce  moment il y ait du fret pour les péniches, mais il y a deux ans il devait téléphoner à 20 ou 30 clients potentiels avant de trouver du boulot…

Là-bas, vous la voyez la grosse mémère ? Il nous faudra attendre.
Et puis voilà. Nous sommes arrivés. Huit heures de navigation. Belle journée. Nous sommes crevés. 
Ça c’était hier. Ce matin nous sommes venus retrouver notre place dans le port du chantier fluvial de Jean-Marc Debacker, une entrée au chaussepied, qui s’est bien passée malgré un petit vent frais.

Ça rentrait vraiment juste, juste !
À propos du proverbe qui dit qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi l’inverse peut être vrai. En revenant de faire des courses à Bouchain (3 km en vélo par le bord du canal) j’aperçois entré dans le canal de Saint-Quentin, un beau voilier qui semble immobile. Du pont j’interpelle le skippeur : Un problème ? Comme il est Suédois (d’après son pavillon), il m’explique avec les mains que son bateau est coincé sur un atterrissement comme on dit en fluvial, c’est-à-dire un haut-fond, généralement boueux. Comme il semble chercher une solution à son problème, les marche avant-marche arrière n’ayant rien donné, je me permets de lui conseiller d’aller frapper (attacher) une amarre sur un arbre de la rive pour ensuite se déhaler dessus. Cette rive étant un peu loin et comme je ne sais pas s’il a la longueur de filin nécessaire à cette opération, je pars jusqu’au chantier, dépose mes courses sur l’Ivanka et retourne avec un long filin vers le voilier coincé. En arrivant, je découvre que le Suédois a de la chance : un freyssinet (40 m de long) emprunte aussi le canal ce qui est de plus en plus rare aujourd’hui. La péniche s’arrête et en amarrant le voilier par le nez le sortira sans difficulté de sa colline de boue. Cela m’a rappelé le jour où, au sec sur la rive gauche de la Saône en légère crue, c’est un freyssinet qui nous a sorti de ce mauvais pas. Moralité : On a parfois besoin d’un bien plus gros que soit.

Une motte de boue bien collante peut vous gâcher la journée.


Mais tout est bien qui finit bien. Les Suédois garderont un bon souvenir
Et voilà, la route est finie. Jason n’a pas trouvé la toison d’or et nous n’avons pas trouvé la fraîcheur belge, mais nous avons apprécié la gentillesse calme des Belges et le canal Blaton-Ath, avec ses éclusiers aléatoires, est agréable à naviguer. Les vaches Bleu blanc belge nous ont épatés par leurs rondeurs porcines et les canards plongeurs m'ont laissé sans voix tandis que Gina nous a attendris par sa fraîcheur octogénaire. Nous allons quitter les Hauts de France maintenant que la canicule a cessé et je parie que chez nous, en bas, on sera écrasés de chaleur. C’est la vie !… 

mercredi 8 août 2018

À la queue leu leu

La première fois que nous sommes entrés dans le canal Blaton-Ath, les quatorze écluses qui se suivent l’une derrière l‘autre, ce qu’on appelle un échelle d’écluses, nous les avons passées avec un bateau anglais. Il était aussi long que nous : 14 m. et nous entrions sans problème à deux dans ces écluses qui mesurent 41 m de long. Mais nous étions montants, c’est-à-dire que nous entrions dans une écluse vide et que le sas se remplissait en ouvrant les vantelles des  portes  amont ce qui crée des tourbillons qui peuvent être asses forts parfois pour secouer le bateau et lorsque deux bateaux sont secoués dans le même sas… Donc, nous avons monté ces quatorze écluses concentrés sur ce que nous faisions. Nous n’avons rien vu.

À peine sortis d'une écluse, déjà dans l'autre !
Alors qu’au retour, étant avalant et seul, le bateau descendant tranquillement dans un sas d’où l’eau sombre s’échappe un peu comme par magie et où l’Ivanka s’enfonce comme avalée par la terre entr’ouverte, nous avons découvert le paysage comme si c’était la première fois. Déjà que parcourir un chemin, à pied, à cheval ou en péniche, dans un sens ou dans l’autre en fait deux chemins différents, lorsque vous ne regardez rien à l’aller et prenez votre temps pour découvrir le paysage au retour, c’est comme si vous faisiez un autre voyage.

Sur ce petit canal, nous en avons rencontrés trois de ce gabarit !
Donc, seuls (si l’on excepte les deux éclusiers chargés de la manœuvre), et avalants, nous avons parcouru les derniers kilomètres du canal Ath-Blaton en profitant d’un agréable paysage bucolique et de rives agrestes. Les quatorze écluses furent descendues à la queue leu leu sans effort et si le soleil n’avait pas jusqu’au bout joué à la boule de plomb fondu, on pourrait dire que nous nous sommes régalés. 
Mais cette chaleur est épuisante et nous nous sommes arrêtés, comme à l’aller, dans le port de Peruwels (se prononce Pérué) pour une nuit plus ou moins tranquille malgré le troupeau d’oies, de bernaches et de canards qui trompettent dès qu’ils croient que quelqu’un veut leur donner à manger.
Le lendemain matin  nous sommes sortis du canal. On parle à la radio de problèmes d’eau dans les canaux belges que que certaines dispositions risques d’être prises. Nous avons pris les deux dernières écluses à Péronnes, dont une de 12,50 m, avec deux commerces de 38 m et un autre plaisancier. Très bon moyen d’économiser les sassées. 

Quand on descend de 12,50 m à côté de ces grosses mémères,
on se doit de rester attentif

La dernière écluse (5,50 m) fuit un peu en amont :
la porte aval sera longue à s'ouvrir.
     Et ce soir nous passerons la nuit à la halte d’Antoing où nous étions déjà l'an dernier. Pas d’électricité, pas d’eau, mais le chateau des princes de Ligne en fond de scène et une bibliothèque municipale très moderne et bien fournie, où l’on sait accueillir comme il sied l’étranger de passage qui cherche une connexion internet. 
Enfin, après une première alerte de quelques gouttes, les orages ont frappé, le premier pluie et vent, le second pluie et pluie, on se serait cru en Afrique, sauf que le thermomètre est un peu descendu.

dimanche 5 août 2018

Un rêve

On a tous connu ça, ces matins où l'on n’ose pas ouvrir les yeux parce que le rêve est trop beau, on n’a pas envie qu’il s’arrête, on se retourne de l’autre côté et on serre les paupières en espérant qu'il reprenne, mais il faut bien finalement se lever, alors on ouvre les yeux, on sort du lit et là, incroyable ! ce n’est pas un rêve, c’est vrai : il fait froid !
Enfin ! voilà pourquoi nous sommes venus en Belgique : éviter la canicule. Bon, jusqu’à hier elle nous suivait d’un peu trop près, mais ça y est. Un temps agréable s’est installé. Ciel gris, nuages assez élevés, vent léger, petits frissons sur les bras quand on sort, aaaah !…
Ça n’a pas duré, mais si le soleil est revenu, le fond de l’air reste frais et la journée agréablement estivale, comme on les aime sur l’Ivanka. 

Bon dimanche à tous !

samedi 4 août 2018

Gina de Ladeuze

Quelques maisons de briques et certaines aussi de broc, une église bien grande pour un si petit village et plus agréable à l’intérieur qu’à l’extérieur, – et fraîche ! deux chevaux qui paissent, trois vaches Bleu blanc belge qui broutent, un canal endormi, une écluse suivie d’un pont-levis, un pécheur éventuel, un héron, deux mouettes, quelques pigeons et des canards plongeurs, on pourrait résumer Ladeuze à cette énumération prévertienne. Mais c’est oublier Gina.
Gina dans son royaume.
Gina est aujourd’hui une vieille dame de 82 ans (ou plus, mais qui oserait demander ?) qui tient depuis toujours le café du village. Et pour ne rien oublier, bien qu’elle ait encore toute sa tête, elle a placé tous ses souvenirs au mur. Son café est un capharnaum d’objets, de photos, d’articles de pêche et de journaux, d’instruments agraires et de je ne sais quoi qui éparpille le regard. À ses pieds, son chien rendu borgne par une piqure de tique.
         J’ai toujours travaillé ici, dit-elle. Je ne suis allée nulle part. Même pas à la mer ? Non, ça ne m’intéresse pas. Mais vous pouvez vous faire remplacer et aller voir à quoi ressemble la plage et la mer, non ? Peut-être, mais je n’en ai pas envie. Je tiens mon café, ça me suffit. 



N’allez pas penser que Gina a l’esprit étroit, méfiant, sclérosé de ces gens « qui sont nés quelque part ». Pas du tout. Elle vous accueille en souriant et papote comme tout un chacun. Elle demande des nouvelles des habitants du village, vous propose une connexion internet, suit des courses de chevaux à la télé, et si elle est un peu voûtée lorsqu’elle se lève et s’avance de guingois, elle connaît sans hésiter le prix des consommations.


Panoramique de "Chez Gina".

        Le reste de la journée se passe à suivre l'ombre tournante plus ou moins fraîche des catalpas aux larges feuilles, à espérer que demain il fera moins chaud qu'aujourd'hui et d'apprendre qu'en Dordogne il fait 6 à 7° de plus. On n'en a pas moins chaud pour autant mais on se dit qu'on n'est pas monté si haut pour rien !

vendredi 3 août 2018

Ath > Ladeuze (Chièvres)

Plutôt ouite heures quart parce qu’on commence à ouite heures…
Comme convenu la veille avec le service des éclusiers, à huit heures et quart nous étions devant le pont-levis d’Ath, prêts à commencer un voyage de deux ou trois heures qui nous conduirait à la halte de Ladeuze qui nous avait bien plu à l’aller.
Attente.
Puis apparaît un éclusier. Il faut attendre, un autre bateau est montant à deux écluses d’ici et vous passerez les écluses en même temps. D’ici une demi-heure…
Bon. Une heure après nous voyons arriver le Basboot battant pavillon belge, de 24 m de long. L’Ivanka mesure 14 m. Les écluses mesurent ici 41 m de long. Nous serons serrés.
En fait, avec 1 m devant, 1 m entre nous et 1 m derrière, et grâce à la manière douce des éclusiers, tout s’est bien passé, les sas se sont remplis lentement sans chocs intempestifs entre nos coques et nous sommes arrivés, après 5 écluses, à Ladeuze.
Le Basboot qui nous a tenu compagnie toute la matinée.
La halte est pour nous seuls ce soir.
Nous retrouvons ces vaches étranges dont je sais maintenant le nom : des Blanc bleu belge, vaches à viande (nom horrible), ce qui explique leurs rondeurs et rotondités qui eussent enchanté Maillol, comme dit le Robert en exemple.

La Bleu blanc belge, splendide !
(je n'avais pas lu le panneau. Désolé !)
Le soleil couchant fait ressortir ses muscles
et ses fesses arrondies, comme un cul de porc !
Et là, dans ce paysage bucolique, calme et vespéral, j’ai assisté à un miracle. J’explique :
Tout le monde connaît le canard sauvage, celui qu’on rencontre partout dès qu’il y a assez d’eau pour sa subsistance, vous savez ce canard au long bec plat, qui flotte sans savoir pourquoi, qui fait coin-coin et qui martyrise ses femelles à la saison des amours. Le canard, quoi.
À la différence du cormoran, noir, plus enfoncé dans l’eau, qui plonge pour attraper les poissons et qui se sèche en se plaçant face au soleil et en ouvrant ses ailes comme un Batman à plumes, lorsque le canard veut manger quelque bestiole sous-marine, il dresse son croupion pointu et patauge avec ses pattes désespérément parce qu’il flotte et ne peut s’enfoncer dans l’eau.
Canard normal s'activant normalement
à la recherche de sa pitance.

Eh bien, hier soir, j’ai vu, de mes yeux vu, une cane, toute simple, toute semblable aux autres canes, un canard, quoi, plonger sous l’eau quelques secondes avant de remonter comme si de rien n’était, remuant du croupion pour montrer sa satisfaction et essayant, en vain, d’apprendre à ses rejetons à faire de même ! Esbaudi, j’en ai oublié de la prendre en photo !
Erreur génétique ? Absurdité ornithologique ? Exemple d’évolution ?… L’avenir le dira !

Pour permettre aux éclusiers, moins nombreux le week-end, d’accueillir comme il faut, les plaisanciers du dimanche qui sont nombreux paraît-il, nous avons décidé de ne repartir de Ladeuze que lundi. Vacances.