Nous avons quitté le port de l’Arsenal à 09 h 00. Journée magnifique, grand soleil, vent, calme à léger, sur le nez. Peu de traffic encore. Nous croiserons quelques bateaux-mouches et le batobus, bien sûr, qui fait la navette.
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Et quand nous passâmes, les cloches sonnèrent ! |
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Vous les voyez les feux verts ? C'est pour nous. |
Comme le temps était extraordinairement beau, tout le monde était de sortie : joggeurs, coureurs, promeneurs, canoéistes. Nous avons même traversé une régate de voiliers, plutôt encalminés, les pauvres.
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Le Batobus ressemble à un gros insecte |
Notre escale prévue à Asnières fut de courte durée. Le temps de reconnaître le paysage et de comprendre que nous n’étions pas au bon endroit, le courant, très fort, nous a drossé contre un houseboat et, au moment où l’une de nos amarres récemment achetées tombait à l’eau et coulait (on fait encore des amarres qui coulent !) pour aller se prendre dans l’hélice et caler le moteur, nous avons pu nous amarrer en catastrophe à couple d’un bateau, aidés par un homme et sa femme qui, de leur bateau, avaient assisté à nos déboires. Un essai de démarrage, marche avant, le moteur cale. Re-démarrage, marche arrière et l’hélice se libère. Ouf ! Pas de dégâts.
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D'une époque à l'autre, les sculptures changent, |
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Elles sont plus colorées. |
Nous avons pu remonter légèrement le courant et nous mettre à couple d’un bateau de même taille que l’Ivanka. Déjeûner et départ de nouveau. Nous nous arrêterons finalement à la halte de Rueil-Malmaison, dont le quai tout encombré de gens qui prennent, une dernière fois, le soleil, est bien sympathique. 45 km au compteur, pas mal ! Demain, nous resterons ici, malgré l’absence d’eau et délectricité.
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Les temps changent, les rives aussi… |
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