Ça y est, nous sommes passés de l'autre côté.
Après un arrêt d'une journée à Saint-Jean-de-Losne nous avons remonté la Saöne sur 4 km pour embouquer le canal du Rhône au Rhin qui suit la vallée du Doubs. Nous sommes passés à l'est de la Saône. Nous avons décidé d'y aller parce que nous n'avions rien à y faire et parce que cela aurait été dommage de rater ce qui est un superbe parcours de l'avis unanime de ceux qui l'ont entrepris. Donc nous avons prévu (souvenez-vous de l'importance de ce verbe : « prévoir » ) d'aller jusqu'à Mulhouse, ou jusqu'à Belford, en tout cas jusqu'à Besançon.
Après un arrêt d'une journée à Saint-Jean-de-Losne nous avons remonté la Saöne sur 4 km pour embouquer le canal du Rhône au Rhin qui suit la vallée du Doubs. Nous sommes passés à l'est de la Saône. Nous avons décidé d'y aller parce que nous n'avions rien à y faire et parce que cela aurait été dommage de rater ce qui est un superbe parcours de l'avis unanime de ceux qui l'ont entrepris. Donc nous avons prévu (souvenez-vous de l'importance de ce verbe : « prévoir » ) d'aller jusqu'à Mulhouse, ou jusqu'à Belford, en tout cas jusqu'à Besançon.
Le voyage projeté, c'est-à-dire « prévu ». |
Le canal nous semble beaucoup plus boisé ici que celui de Bourgogne, mais c'est une toute première impression. Les écluses sont automatiques, ce qui n'est pas désagréable sur le plan efficacité mais qui manque un peu de chaleur humaine.
Aujourd'hui, 19 juillet, la France est sous la pluie, Dole aussi. C'est jour de marché. Entendu à la radio : « Il pleut aujourd'hui, la nature n'est pas parfaite. » Ils font des études pour devenir journalistes ?…
L'arrivée à Dole. Impressionnante |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire