Comme tous les voyages, celui-ci approche de sa fin. Comme dit l'optimiste qui rate son bus : Chouette ! je suis en avance pour le suivant !... Donc le début du prochain voyage n'a jamais été si près.
En attendant nous sommes allés jusqu'à Lagny-sur-Marne, jolie petite ville, bon accueil à la base nautique,et un (petit) musée qui laisse entendre qu'il aurait des Pissarro... mais c'est pas vrai !... En plus, une jeune personne à qui on a oublié de dire que "gardien" ça ne va pas forcément avec "de prison" !...
Retour vers Meaux par le canal de Chalifert. Dans le tunnel (300 m.) un grand clang !... quelque chose cogne l'hélice. Une branche sans doute. On repart et tout va bien.
À l'aller, Pierre avait remarqué l'entrée du canal latéral au Grand-Morin. Ce canal n'est plus navigable (envasé) mais il y avait un ponton juste à l'embouchure et l'endroit semblait très bucolique. Nous nous y arrêtons. Ici le mouillage (profondeur d'eau) est suffisant, mais quelques mètres plus à l'intérieur du canal il ne reste que 50 cm d'eau ! Nous y sommes restés deux jours. On se croirait en pleine nature mais derrière les arbres nous avons découvert un supermarché et, de l'autre côté du canal de Chalifert, un petit village avec toutes les commodités et même une connexion internet. Nous en repartons samedi pour passer la dernière écluse avant le week-end de Pâques qui est férié sur les voies navigables de France.
En attendant nous sommes allés jusqu'à Lagny-sur-Marne, jolie petite ville, bon accueil à la base nautique,et un (petit) musée qui laisse entendre qu'il aurait des Pissarro... mais c'est pas vrai !... En plus, une jeune personne à qui on a oublié de dire que "gardien" ça ne va pas forcément avec "de prison" !...
Retour vers Meaux par le canal de Chalifert. Dans le tunnel (300 m.) un grand clang !... quelque chose cogne l'hélice. Une branche sans doute. On repart et tout va bien.
À l'aller, Pierre avait remarqué l'entrée du canal latéral au Grand-Morin. Ce canal n'est plus navigable (envasé) mais il y avait un ponton juste à l'embouchure et l'endroit semblait très bucolique. Nous nous y arrêtons. Ici le mouillage (profondeur d'eau) est suffisant, mais quelques mètres plus à l'intérieur du canal il ne reste que 50 cm d'eau ! Nous y sommes restés deux jours. On se croirait en pleine nature mais derrière les arbres nous avons découvert un supermarché et, de l'autre côté du canal de Chalifert, un petit village avec toutes les commodités et même une connexion internet. Nous en repartons samedi pour passer la dernière écluse avant le week-end de Pâques qui est férié sur les voies navigables de France.
Vous le voyez, le supermarché, vous ? Mais si, là, juste derrière les arbres...
Parler des oiseaux... parler des oiseaux...
qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les ouettes, moi ?...
qu'est-ce que je vais pouvoir dire sur les ouettes, moi ?...
Arrivés à l'écluse de Meaux, on en sort et reclang ! Mais cette fois le moteur, qui était encore au ralenti, cale !... Nous voilà sans moteur, c'est-à-dire, désemparés, sur la Marne où le courant fait quand même 3 km/h !... Vais-je devoir jeter l'ancre ? (manœuvre encore jamais effectuée sur Ivanka) ?... Non ! le moteur redémarre à ma demande !... L'hélice à l'air de fonctionner comme il faut. Ouf !... Nous allons accoster au port de Meaux où nous étions la semaine dernière et nous y retrouvons Capt. Ken qui me propose d'aller estimer les dégâts demain matin (il a une tenue de plongée)... Et puis, on découvre que la courroie du générateur s'est cassée !... Il y a des jours comme ça...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire