Disons que ça commence plutôt mal, jugez-en.
Nous sommes à Amsterdam, après un voyage trop long : il faut être près de deux heures avant le décollage pour s'enregistrer et il faut ensuite patienter plus d'une heure pour retrouver ses bagages, «parce que Transavia n'a pas assez de personnel à terre ». On croit rêver, surtout que cette «bas coût » n'est pas si bon marché que ça... Mais ce n'est pas ça la catastrophe.
Nous sommes à Amsterdam, les vélos sont toujours là, un peu plus nombreux qu'en hiver, les maisons sont pittoresques, les rues animées, les canaux toujours encombrés, mais ce n'est pas ça la catastrophe.
La catastrophe c'est… qu'il fait aussi chaud qu'à Sarlat ou à Périgueux ! Or je suis venu ici pour la fraîcheur, moi. Je suis venu ici pour les nuages et le vent. Pour la pluie même !… Je suis venu ici pour connaître un temps agréable ! Eh bien non, ici, il fait chaud, lourd et moite comme une journée d'été dans le Sud-Ouest. Je suis écrasé de chaleur et abattu de désespoir… Mais je me rassure en pensant que ça ne va pas durer. La météo est mon amie.
Claire aussi est mon amie et, par chance, les atomes de Fabi se sont étroitement crochetés avec ceux de Claire. Ce soir (le jeudi soir les magasins font «nocturne » jusqu'à 9 h 00) Claire nous a fait découvrir un magasin étonnant, Hema, une sorte de bazar moderne qui vend tout ce qui peut se vendre et, notamment, ce que nous cherchions pour Ivanka : une théière en inox. En route il faut éviter les voitures et les vélos et surtout, le soir, les tas de vieilleries dont se débarrassent les gens. Pas des poubelles, pas des ordures vraiment, disons, de la sous-brocante si vous voyez. Et dans un tas hétéroclite qui comptait un vieux Mac « berlingot », des chaises tressées etc, nous avons trouvé ce qui ressemble à une grande tente qui pourra nous servir quand vous viendrez nous voir très nombreux. Elle est maintenant dans la cave de Claire qui est une vraie amie je vous dis. Il ne nous reste plus qu'à trouver le moyen de porter cette lourde tente jusqu'à Ivanka dont la route, vous l'aurez notée, s'éloigne d'Amsterdam. Nous verrons.
C'était la première journée de notre retour vers Ivanka que nous rejoindrons dans quelques jours. La nuit tombe et l'on sent qu'elle sera tropicale... Je hais la météo !
Promis, promis, demain vous aurez quelques photos.
Nous sommes à Amsterdam, après un voyage trop long : il faut être près de deux heures avant le décollage pour s'enregistrer et il faut ensuite patienter plus d'une heure pour retrouver ses bagages, «parce que Transavia n'a pas assez de personnel à terre ». On croit rêver, surtout que cette «bas coût » n'est pas si bon marché que ça... Mais ce n'est pas ça la catastrophe.
Nous sommes à Amsterdam, les vélos sont toujours là, un peu plus nombreux qu'en hiver, les maisons sont pittoresques, les rues animées, les canaux toujours encombrés, mais ce n'est pas ça la catastrophe.
La catastrophe c'est… qu'il fait aussi chaud qu'à Sarlat ou à Périgueux ! Or je suis venu ici pour la fraîcheur, moi. Je suis venu ici pour les nuages et le vent. Pour la pluie même !… Je suis venu ici pour connaître un temps agréable ! Eh bien non, ici, il fait chaud, lourd et moite comme une journée d'été dans le Sud-Ouest. Je suis écrasé de chaleur et abattu de désespoir… Mais je me rassure en pensant que ça ne va pas durer. La météo est mon amie.
Claire aussi est mon amie et, par chance, les atomes de Fabi se sont étroitement crochetés avec ceux de Claire. Ce soir (le jeudi soir les magasins font «nocturne » jusqu'à 9 h 00) Claire nous a fait découvrir un magasin étonnant, Hema, une sorte de bazar moderne qui vend tout ce qui peut se vendre et, notamment, ce que nous cherchions pour Ivanka : une théière en inox. En route il faut éviter les voitures et les vélos et surtout, le soir, les tas de vieilleries dont se débarrassent les gens. Pas des poubelles, pas des ordures vraiment, disons, de la sous-brocante si vous voyez. Et dans un tas hétéroclite qui comptait un vieux Mac « berlingot », des chaises tressées etc, nous avons trouvé ce qui ressemble à une grande tente qui pourra nous servir quand vous viendrez nous voir très nombreux. Elle est maintenant dans la cave de Claire qui est une vraie amie je vous dis. Il ne nous reste plus qu'à trouver le moyen de porter cette lourde tente jusqu'à Ivanka dont la route, vous l'aurez notée, s'éloigne d'Amsterdam. Nous verrons.
C'était la première journée de notre retour vers Ivanka que nous rejoindrons dans quelques jours. La nuit tombe et l'on sent qu'elle sera tropicale... Je hais la météo !
Promis, promis, demain vous aurez quelques photos.