Vous savez ce que c’est : on prévoit de faire ci, d’aller là, de rencontrer untel, de visiter ce lieu puis cet autre et, au final, on fait tout autre chose. C’est la vie. Naviguer c’est pareil.
Tenez, nous par exemple, nous avions prévu et organisé de terminer notre voyage de cet été non pas à Valenciennes (malgré la gentillesse chaleureuse de ses deux capitaines) mais à Bassin Rond dans un chantier fluvial qui devait nous mettre un tableau électrique aux normes, ce qui n’est pas le cas actuellement.
Donc, hier, après nous être mis d’accord avec le responsable du chantier, nous quittons Valenciennes pour un petit voyage de trois heures et demie. Au sortir d’une écluse je remarque qu’on m’a appelé. Je rappelle. C’est le chantier. Problème : la place où nous devions nous mettre, sans gêner la circulation des bateaux (L’Ivanka est un peu longue pour ce tout petit port et gênerait facilement), n’est plus libre car le bateau qui l’occupe d’habitude est tombé en panne et revient bien plus tôt que prévu.
Boooon…
Partis pour partis, nous y sommes allés quand même. Le patron a examiné de visu et noté ce qu’il y avait à faire (c’est mieux que sur des photos) et ce matin nous sommes repartis pour Valenciennes. Dans les deux cas le temps était beau et calme. De quoi se plaint-on ?
Pour vous mettre dans l'ambiance, voilà ce que voit le pilote de l'Ivanaka. |
D’autant qu'au retour nous avons fait le voyage de conserve (c’est comme ça que ça se dit) avec l’Amiral, joli petit bateau hollandais avec Dominique et Rachel comme équipage. Chouette rencontre qui s’ajoute aux précédentes. On se reverra !
Alors, cette fois, c’est bien fini. L’Ivanka nous attendra à Valescaut, le port de Valenciennes, jusque dans la seconde moitié d’octobre où nous la conduira probablement jusqu’au chantier fluvial de Bassin Rond.
Je ne vais pas chercher à faire l’original : À suivre !…
Et merci de nous lire.
Au revoir ! |