Nous sommes enfin partis de St-Mammès. L’escale y est agréable, la capitaine du port charmante, mais les douches ne fonctionnent pas bien, sont peu pratiques et on peut passer tout un week-end sans toilettes disponibles pour cause de disfonctionnement du code…
Nous avons résolu notre problème électrique temporairement. Que je vous dise :
Nous avions cette boîte bleue dans la soute qui est un peu magique. Quand le bateau est branché sur la prise du quai, la boîte utilise l’électricité du quai. Quand on ne s’en sert pas, elle utilise cette électricité pour charger les batteries. Quand on a besoin d’un surcroît de puissance, pour la cuisine par exemple, la magicienne va chercher de l’aide dans les batteries, etc. Ça s’appelle paraît-il un chargeur-inverteur. De marque Victron.
Eh ! bien, la magicienne fait la grève des bras croisés. Exactement, le côté chargeur ne charge plus ! Bon, je vous la fais courte : le plus simple fut de la démonter et de l’envoyer à l’usine. Nous attendons un devis (attendre un devis au mois d’août !…). En attendant, notre autre magicien, Dominique (si vous cherchez un électricien compétent et serviable, demandez-moi) nous a fait un système qui permet de profiter des batteries et, amarrés, du quai. La différence pou ceux qui n’ont pas suivi : avant nous avions en permanence du 220 V (frigo, chauffe-eau…), maintenant nous n’avons du 220V que si nous sommes branchés à quai ou si nous faisons tourner le générateur Honda.
Voilà, vous savez tout (tout ce que j’ai compris, au moins !).
Nous avons résolu notre problème électrique temporairement. Que je vous dise :
Nous avions cette boîte bleue dans la soute qui est un peu magique. Quand le bateau est branché sur la prise du quai, la boîte utilise l’électricité du quai. Quand on ne s’en sert pas, elle utilise cette électricité pour charger les batteries. Quand on a besoin d’un surcroît de puissance, pour la cuisine par exemple, la magicienne va chercher de l’aide dans les batteries, etc. Ça s’appelle paraît-il un chargeur-inverteur. De marque Victron.
Eh ! bien, la magicienne fait la grève des bras croisés. Exactement, le côté chargeur ne charge plus ! Bon, je vous la fais courte : le plus simple fut de la démonter et de l’envoyer à l’usine. Nous attendons un devis (attendre un devis au mois d’août !…). En attendant, notre autre magicien, Dominique (si vous cherchez un électricien compétent et serviable, demandez-moi) nous a fait un système qui permet de profiter des batteries et, amarrés, du quai. La différence pou ceux qui n’ont pas suivi : avant nous avions en permanence du 220 V (frigo, chauffe-eau…), maintenant nous n’avons du 220V que si nous sommes branchés à quai ou si nous faisons tourner le générateur Honda.
Voilà, vous savez tout (tout ce que j’ai compris, au moins !).
Étape très courte : St-Mammès / Montereau-Fault-Yonne : 14 km. Ça nous permettra demain de faire une escale plus longue, jusqu’à Sens.
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À Montereau, Fabi vous recommande le musée de la faïence. De très belles pièces à admirer.
Nous avons donc quitté la Syonne, enfin la « Seine » après Montereau. La vraie Seine, la Seine toute seule, la Seine intègre, la Seine en elle-même enfin, commence à sa source et s’arrête ici. Vous ne comprenez pas ? Eh ! bien, regardez ! Sur une photo du confluent, le pont le plus long est bien celui de droite qui enjambe l’Yonne : une arche de plus. Or, la coutume veut que l’affluent soit la plus petite des deux rivières qui se rencontrent et qui prennent ensuite le nom de la plus grande. Donc la Seine devrait s’appeler l’Yonne. CQFD.