Douze heures de voyages, sans volcan, sans nuages douteux, sans grèves intempestive et… sans contrôleur ! Nous avons pris trois trains différents sans jamais être contrôlés. Moralité : Quand vous prenez le train le lendemain d'une grève, n'achetez pas de billet ! ;-)
S'il fut un peu long c'est à cause de l'arrêt à Paris , trop court et trop long à la fois. Nous avions trois heures d'attente et quand on a des valises et des sacs, on ne peut pas aller très loin. Donc : promenade dans le Jardin des plantes au printemps, thé vert à la Mosquée de Paris… du classique, quoi.
Ensuite, nouvelle expérience : par manque de places disponibles (nous avons réservé nos billets un peu tard, ne sachant pas où nous allions nous arrêter), nous avons dû prendre des places de première entre Paris et Limoges…
Que des vieux !… ça fait drôle, mais d'un autre côté ça veut dire pas de gosses braillards (Aïe ! c'est pas une remarque de vieux, ça ?…) et, certes, de beaux, larges, fauteuils en cuir, mais avec moins de place avec son vis-à-vis qu'en deuxième classe : un comble !
Et on y rencontre des gens gâtés par la vie qui ne savent pas en profiter : être en première classe, assis dans un fauteuil cuir somme toute confortable, posséder un MacBook, y passer un bon film et… dormir ! Quel gâchis quand même, non ?… Pierre signale que ce n'est pas lui qui se cache derrière ce chapeau ridicule !
S'il fut un peu long c'est à cause de l'arrêt à Paris , trop court et trop long à la fois. Nous avions trois heures d'attente et quand on a des valises et des sacs, on ne peut pas aller très loin. Donc : promenade dans le Jardin des plantes au printemps, thé vert à la Mosquée de Paris… du classique, quoi.
Ensuite, nouvelle expérience : par manque de places disponibles (nous avons réservé nos billets un peu tard, ne sachant pas où nous allions nous arrêter), nous avons dû prendre des places de première entre Paris et Limoges…
Que des vieux !… ça fait drôle, mais d'un autre côté ça veut dire pas de gosses braillards (Aïe ! c'est pas une remarque de vieux, ça ?…) et, certes, de beaux, larges, fauteuils en cuir, mais avec moins de place avec son vis-à-vis qu'en deuxième classe : un comble !
Et on y rencontre des gens gâtés par la vie qui ne savent pas en profiter : être en première classe, assis dans un fauteuil cuir somme toute confortable, posséder un MacBook, y passer un bon film et… dormir ! Quel gâchis quand même, non ?… Pierre signale que ce n'est pas lui qui se cache derrière ce chapeau ridicule !
Nous espérons que Herby, le mécanicien de Mailly-la-Ville va nous réparer Ivanka et la soigner aux petits oignons. Il doit changer les silent-blocks, vérifier l'inverteur (=boîte de vitesse), aligner le moteur, le vérifier, le vidanger et faire en sorte que les portes de la cale moteur qui sont très lourdes et difficiles à ouvrir le soient beaucoup moins. Enfin, s'il lui reste du temps, mais rien n'est moins sûr, il s'occupera de nous mettre un vrai chauffe-eau. Nous en reparlerons.
Maintenant il nous faut quelque temps pour que tout ce que nous avons vu sur ce canal du Nivernais s'installe dans notre mémoire. Mais c'est vraiment un très beau canal, avec de superbes paysages. Nous avons préféré le côté bassin de l'Yonne mais si on aime la campagne, c'est un régal tout du long. Nous avons apprécié son parcours : jamais plus d'un kilomètre de ligne droite, ce qui évite la monotonie, et la variété des pays traversés. Heureux aussi de traverser la Bourgogne sans voir de vignobles qui donnent des paysages aussi tristes qu'un défilé militaire…
Dans deux mois nous repartons. Pour aller où ? Mais nous n'en savons absolument rien encore !
À bientôt.