Certes, il y a eu cette mauvaise surprise : la Somme ouverte seulement le 1er avril !
Quel poisson pour nous qui ne voulions que des oiseaux !
Bref ! passons. Nous allions nous faire plaisir sur d’autres rivières et canaux.
Eh ! bien pas si sûr...
Tout d’abord notre bernache nonette au Port de Cergy n’était plus là à notre arrivée : elle avait sans doute décidé de remonter vers le Nord, retrouver les siennes.
Nous sommes donc partis, les jumelles aux aguets.
La horde de cormorans (les “morfalous” comme nous les appelons), qui nous envahissait dans le port tous les matins, a commencé à devenir plus rare. Seuls quelques uns, perchés sur de vieux arbres morts, continuent à garder l’eau sombre de l’Oise.
Quel poisson pour nous qui ne voulions que des oiseaux !
Bref ! passons. Nous allions nous faire plaisir sur d’autres rivières et canaux.
Eh ! bien pas si sûr...
Tout d’abord notre bernache nonette au Port de Cergy n’était plus là à notre arrivée : elle avait sans doute décidé de remonter vers le Nord, retrouver les siennes.
Nous sommes donc partis, les jumelles aux aguets.
La horde de cormorans (les “morfalous” comme nous les appelons), qui nous envahissait dans le port tous les matins, a commencé à devenir plus rare. Seuls quelques uns, perchés sur de vieux arbres morts, continuent à garder l’eau sombre de l’Oise.
Quelques cormorans égarés loin de la mer...
Les cygnes si présents sur les lacs, nous ne les retrouvons que dans la traversée des villes, agglutinés autour de la nourriture facile donnée par l’homme.
Les mouettes rieuses, déguisées pour les amours de leur petite cagoule noire (pour les messieurs) ou d’une discrète tâche grise sur la joue (pour les dames), résonnent de moins en mois depuis que nous avons quitté l’Oise.
Les mouettes rieuses, déguisées pour les amours de leur petite cagoule noire (pour les messieurs) ou d’une discrète tâche grise sur la joue (pour les dames), résonnent de moins en mois depuis que nous avons quitté l’Oise.
Les oies? Nous avons dû partager une écluse avec DEUX d’entre elles : elles y étaient quand nous y entrions! Après une inspection en règle du bateau, en cancanant, elles ont fini par sortir les premières de l’écluse, hautaines et râleuses, « ben quoi, ben quoi, c’est pour nous qu’on ouvre ! » (traduction approximative d’une série de coin-coin indignés)
Mais le clou de notre déception revient aux hérons : zéro! pas la queue d’un! Nous qui faisions concours du nombre décompté cet automne : jour à 9 hérons, jour à 12 hérons...
Bref! où sont-ils tous passés ???
Quelques canards font bien des atterrissages devant Ivanka sur les rivières mais sur les canaux rien... ou presque. De rares poules d’eau se signalent discrètement sous les arbres penchés sur l’eau mais les voir reste une autre affaire.
Tous occupés... à préparer les nids et les nichées?
Enfin, le lendemain du jour où ce message fut écrit : DEUX hérons !...
Bref! où sont-ils tous passés ???
Quelques canards font bien des atterrissages devant Ivanka sur les rivières mais sur les canaux rien... ou presque. De rares poules d’eau se signalent discrètement sous les arbres penchés sur l’eau mais les voir reste une autre affaire.
Tous occupés... à préparer les nids et les nichées?
Enfin, le lendemain du jour où ce message fut écrit : DEUX hérons !...
1 commentaire:
Depuis le pc ou depuis le mac, c'est toujours autant agréable à lire !! Bon allez, c'est mieux depuis le mac quand même... mais l'autre est tout neuf alors c'est dur de laisser un nouveau jouet de côté ;)
plein de bisous à vous deux !
P.S. Si je ne m'amuse (!), nous n'avons toujours pas eu la joie de contempler l'antenne VHF... non, non, rien, juste comme ça. :)
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