Il a plu dans la nuit mais le matin promettait une belle journée et la promesse fut tenue : comme en été !… Limite chaud pour Pierre qui cherche toujours une occasion de râler et qui n'aime pas avoir chaud.
La halte de Decize, sur le canal latéral à la Loire, n'est pas une « halte » m'a expliqué le responsable de la Vnf (Voies navigables de France). Pour cela il faudrait y disposer de l'eau et de l'électricité, facilités qui seraient gérées par la municipalité. Donc non, désolé, mais bien que proches voisins nous ne pouvons vous tirer un fil pour l'électricité, cela ferait concurrence au « port » géré par une entreprise qui loue son emplacement à Vnf et le port est tout proche, sur la dérivation qui nous permettra dans quelques jours d'emprunter la Loire et d'atteindre l'embouchure du canal du Nivernais.
Mais n'allons pas trop vite. D'ailleurs, à 6 km/heure de vitesse imposée sur un canal il est dangereux d'aller vite !
superbe !
Nous sommes donc partis de la « halte » de Decize, toujours en descendant vers le sud. Le latéral à la Loire est un peu monotone, souvent très rectiligne, bien large, sans surprises… Quoique… c'est au bout d'un bief rectiligne, au haut d'un arbre plutôt modeste, qu'un énorme nid a attiré notre attention. Serait-ce possible ?… Oui ! c'en est une. Notre première cigogne. Séquence émotion… et par chance, elle nourrit déjà trois petits cigogneaux dont la tête dépasse à peine du bord du nid. Ah ! ça fait plaisir de voir ça, et ça remplit bien la journée.
Pauvre âne, il a de longues oreilles et de curieux sabots !
Une peinture naïve qui veut donner envie
de visiter le village de Gannay.
Avec l'eau et l'électricité à la halte on serait peut-être resté !
Nous sommes donc partis de la « halte » de Decize, toujours en descendant vers le sud. Le latéral à la Loire est un peu monotone, souvent très rectiligne, bien large, sans surprises… Quoique… c'est au bout d'un bief rectiligne, au haut d'un arbre plutôt modeste, qu'un énorme nid a attiré notre attention. Serait-ce possible ?… Oui ! c'en est une. Notre première cigogne. Séquence émotion… et par chance, elle nourrit déjà trois petits cigogneaux dont la tête dépasse à peine du bord du nid. Ah ! ça fait plaisir de voir ça, et ça remplit bien la journée.
Après 30 km et 7 écluses nous avons trouvé une charmante halte (une vraie celle-là) en pleine nature, à 500 km du village de Beaulon. Sur notre demande, le cantonnier viendra obligeamment ouvrir l'eau et l'électricité (une vraie halte je vous dis!) et nous décidons de rester là demain pour profiter un peu de l'arrivée du printemps. Avec une cigogne, vous vous rendez compte !
En plus, dans ce charmant village, j'ai une superbe connexion et je vous raconte tout ça assis sur une marche devant une maison au bord d'une rue passante !… C'est beau le progrès !
En plus, dans ce charmant village, j'ai une superbe connexion et je vous raconte tout ça assis sur une marche devant une maison au bord d'une rue passante !… C'est beau le progrès !
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