Notre escale à Panneçot - petit village endormi avec un camping accueillant : eau et électricité pour les bateaux de passage, une chute d'eau bruyante, des poules en liberté dans un très grand jardin, d'anciennes enseignes peintes sur les murs et très délavées : Hôtel du commerce… et une nuit noire, noire, noire. Bravo la commune ! écolos les Panneçotois (?) : pas de gaspillage ! À quoi sert d'éclairer des rues quand la nuit tout le monde dort ? Ajoutez un ciel lourd et vous saurez ce que veut dire une nuit noire.
Le départ fut un peu curieux. Au moment de partir, nous avions largué les amarres et commencé la manœuvre, les Allemands de Decize qui s'étaient amarrés derrière nous démarrent en trombe et, avec un grand sourire… nous passent devant ! Humour teuton ?… Ils devaient se croire au volant d'une voiture. Ils ont donc navigué de conserve avec un couple de jeunes artistes de spectacle vivant (lui est aussi caméraman à la télé) qui a un intéressant bateau qu'ils sont en train d'aménager. Nous resterons derrière, passant seul les écluses, ce qui est plus confortable, surtout quand vous en avalez dix dans la journée.
Ce soir escale à Châtillon-en-Bazois, sur un grand plan d'eau. Les Allemands ont fini leur voyage. Les jeunes partent à Paris pour un boulot jusqu'à mardi (la vie d'artiste!) et nous repartirons demain.
En attendant, petit tour dans ce village, célèbre pour son château. Bon, je ne rappellerai pas que des châteaux, en Dordogne, on en est gavé, et je ne dirai pas que celui -ci ne semble pas d'un grand intérêt parce que je ne suis pas chez moi. D'ailleurs, bien plus curieux, dans la grand rue parcourue par un vent froid, sous un ciel sombre d'où tombe une humide boucaille (on se croirait en hiver), nous remarquons qu'il y a presque une maison sur deux qui est à vendre ! Décidément, notre impression bourguignonne de l'été dernier se confirme : cette province périclite !
Ce soir escale à Châtillon-en-Bazois, sur un grand plan d'eau. Les Allemands ont fini leur voyage. Les jeunes partent à Paris pour un boulot jusqu'à mardi (la vie d'artiste!) et nous repartirons demain.
En attendant, petit tour dans ce village, célèbre pour son château. Bon, je ne rappellerai pas que des châteaux, en Dordogne, on en est gavé, et je ne dirai pas que celui -ci ne semble pas d'un grand intérêt parce que je ne suis pas chez moi. D'ailleurs, bien plus curieux, dans la grand rue parcourue par un vent froid, sous un ciel sombre d'où tombe une humide boucaille (on se croirait en hiver), nous remarquons qu'il y a presque une maison sur deux qui est à vendre ! Décidément, notre impression bourguignonne de l'été dernier se confirme : cette province périclite !
Pas de soleil pour ce beau parterre de fleurs. Dommage !
«Au rouet enchanté » !… On croit rêver !…
Même tout baissé, ça passe juste. Heureusement que nous n'avons plus
notre canot en plastique vert. Ah ! oui, j'ai oublié de vous le dire :
nous l'avons vendu à un éclusier en passant.
Caché sous sa bâche, l'Origami attend son heure…
1 commentaire:
Génial "le Rouet Enchanté"!!, c'est mon adorable marraine qui tient cette superbe boutique!!! Elle s'appelle Louisette et je vous encourage la prochaine fois à rentrer et à discuter avec elle car non vous ne rêvez pas ça existe et c'est magique...
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