Faut pas exagérer, il ne nous arrive pas quelque chose d’extraordinaire tous les jours !
Après une journée de pluies torrentielles, nous sommes partis de Nancy le samedi matin en montant le canal de la Marne au Rhin (Est).
Après une journée de pluies torrentielles, nous sommes partis de Nancy le samedi matin en montant le canal de la Marne au Rhin (Est).
Nancy, le port, la nuit |
Merci Nancy ! |
Pluie de Nancy, poncho d'Italie ! |
Nous reviendrons à Nancy, ville superbe où nous avons rencontré des gens charmants et reçu d’adorables cadeaux. Un restaurateur, devant notre surprise à voir la taille (10 cm) d’un pot à lait « comme avant » nous l’offre spontanément parce que nous lui avons dit que nous avons un petit-fils qui adore les bidons de lait ! Et notre voisin René, du luxemotor « Morphée » contre lequel nous nous sommes amarrés nous offre en partant un « bouquet » de Madagascar où il passe six mois de l’année !
À la deuxième écluse — une de ces écluses toutes neuves, aux portes en fibre de verre et à la technologie avancée — nous sommes restés coincés pendant plus d’une heure, les portes amont refusant de s’ouvrir et « l’itinérant » (employé des VNF chargé de s’occuper des écluses récalcitrantes) étant déjà occupé sur la panne d’une autre écluse à quelques kilomètres de là…
Les bateaux, c’est comme les voitures : ça bouchonne ! Très vite trois autres bateaux attendaient derrière nous. L’un d’eux battait pavillon américain. Le propriétaire monte jusque vers nous pour savoir ce qui se passe. Explications, échange de politesses, vous êtes d’où ? De Floride, et vous ? De Dordogne, vous connaissez ? Mais bien sûr, il y a quelques années, nous avons… Bref, ce couple de Floridiens avaient fait une randonnée d’une semaine avec mon collègue Yvan que j’aurais dû seconder, mais le groupe n’étant que de cinq, il le guidât seul. Néanmoins, c’est moi qui leur fit la visite de Sarlat. Et voilà comment on se retrouve des années après dans de tout autres lieux !… Le monde est petit.
Après un voyage sans autre incident majeur, nous sommes aujourd’hui (22 juillet) arrêtés dans la marina de Lagarde (Moselle). Village lorrain, avec les trottoirs plus larges que les rues ; aujourd’hui c’est pour y entasser le bois de chauffage, avant c’était pour y mettre le fumier qui donnait une bonne idée de la richesse du fermier… Depuis hier il fait soleils, mais frais et le vent nous gêne un peu, mais ça, vous le savez maintenant !
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