(Rappel de notre courriel : Cela devient de plus en plus difficile de raconter des histoires, je veux dire des histoires intéressantes. En effet, que dire quand il ne se passe rien ?
Par exemple : Le train est parti à l’heure de Périgueux. Changement à Limoges sans histoire. Arrivés à Paris, nous avons changé de gare à pied, en traversant la Seine. Le train est parti à l’heure de Paris. Arrivés à Dijon nous avons changé de train. Parti à l’heure de Dijon le train est arrivé à l’heure à Auxonne… Même la SNCF y met de la mauvaise volonté ! Où sont les retards intempestifs ? Les arrêts en pleine campagne ? Les trains remplacés par des bus ? Les grèves, etc ?
Enfin, maintenant vous l’avez deviné, nous sommes revenus sur l’Ivanka. Rien à signaler. Pour l’instant…
Merci à ceux qui nous suivent sur le blog où vous ne devez pas hésiter à intervenir !)
Ah ! si, quand même, il s’est passé quelque chose au cours de ce voyage.
Alors que nous étions assis à la terrasse du restaurant de la gare de Lyon, discutant avec l'amie Edel qui profitait de notre passage éclair (2 h) à Paris pour nous faire un petit coucou, du sac d’un voyageur proche jaillit soudain une énorme bestiole. Enfin, énorme en comparaison de nos bestiole à nous puisqu’il s’agissait d’un cafard, mais d’un cafard réunionnais, ce que nous confirma le voyageur qui rentrait de la Réunion.
Un peu perdu dans cette atmosphère bruyante et agitée, un peu frigorifié peut-être aussi, il s’agitait néanmoins (le cafard, pas le voyageur) et fut difficile à prendre en photo.
Aurions-nous dû l’écraser ? Sans doute. Mais à l’unanimité nous décidâmes de lui donner sa chance dans la capitale. À tort peut-être ? Sera-t-il, nouveau Rastignac, à l’origine d’une nouvelle invasion comme les écrevisses américaines ?
L’avenir le dira.
Il est là, à gauche de l'index gauche de la photographe : belle bête ! |
Vous croyez avoir déjà cette photo l'an dernier ? Erreur ! |
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