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jeudi 23 octobre 2014

Le bouillon d'Andrésy

Après avoir revu de vieux amis à Rueil, nous partons pour Andrésy à la rencontre aussi d’autres amis. Le voyage s’est passé sans problème. Parfois, j’ai l’impression qu’il reste un bout d’amarre autour de l’hélice : on entend un bruit répétitif, flap, flap, flap. Un coup de marche arrière et le bruit s’arrête. Quand même, il va falloir aller jeter un coup d’œil là-dessous pour évaluer la situation.

L’arrivée à Andrésy se passe sans problème, malgré un vent assez fort annoncé par la météo. Le ponton de la halte est dans un état lamentable, bollards à moitié arrachés, planches pourries et bancales, idéales pour se fouler une cheville… On dirait que la ville n’a pas envie de recevoir de visiteurs. Pourtant, avec l’électricité fournie et de l’eau disponible en petites quantiés, l’escale est gratuite. Il suffirait de la rendre raisonnablement payante et d’entretenir le ponton pour en faire une halte agréable : calme, commerces à proximité, etc. Comme à mon habitude, j’en parle à chaque commerçant où je fais une emplette, ils sont intéressés au premier chef.

Un aperçu de l'état du ponton d'Andrésy.

Grâce à l’ami Philippe d’Andrésy j’ai emprunté une combinaison de plongeur ce qui m’évitera de tremper dans une eau qui commence à être moins chaude… 
remarquez l'élégant camaïeu de bleus.

Pas facile à enfiler, mais efficace.





Et voilà le travail !

… J’ai bien fait d’y aller voir, il restait un bon bout d’amarre enroulée autour de l’hélice et de l’arbre. Mais avec la combinaison, c’aurait été une partie de plaisir si l’eau avait été un peu plus propre (un vrai potage !). Merci Philippe et Alain pour le coup de main !

Pour changer un peu, je suis allé à la réunion des vélocipédistes éclairés. Une association de volontaires qui réparent voter vélo ou vous apprends à vous en occuper comme il faut. Très sympa.


Des vélos, il y en a de toutes sortes.

La preuve : celui-là s'appelle " Vélo Ben-Hur" !

1 commentaire:

Jean-Pierre a dit…

Il me semble me souvenir d'un certain Jacques Chirac qui avait promis qu'il se baignerait dans une Seine redevenue propre. Évidemment, j'aurais dû me méfier. Son ministre de l'intérieur professait que "les promesses n'engagent que ceux qui y croient".