Cette fois, nous sommes partis à une heure raisonnable et tout allait pour le mieux lorsque notre train s'arrêta en gare de Brétigny de triste mémoire. Même si vous ne prenez jamais le train, ce qui du point de vue de la production de CO2 est dommage, vous n’êtes pas sans ignorer que lors d’incidents : grèves, etc, ce que reprochent le plus les usagers c’est le manque d’informations.
Ce ne fut pas notre cas. Nous n’aurons rien à reprocher à la SNCF dans ce domaine. Il semble qu’une personne soit tombée sur la voie dans « une gare qui nous précède » (sic) ce qui provoqua l’intervention des pompiers. Eh bien, si le contrôleur ne nous l’a pas répété dix fois, il ne l’a jamais dit. Ce qui prouve qu’en protestant, quand il est encore temps, comme chantait Boris Vian…
Donc, le retard provoqué par une personne tombée sur la voie dans une gare qui nous précède qui a nécessité l’intervention des pompiers a fait que nous avons raté notre correspondance et que nous sommes arrivés une heure plus tard que prévu à bord d’Ivanka.
Qu’est-ce qu’une heure, me direz-vous. Certes. Mais la pauvre Ivanka nous attendait avec tant d’impatience ! Et les innombrables araignées qui envahissent une péniche dès que plus personne n’est à bord étaient toute excitées. Peut-être parce qu’on les dérangeait…
Enfin, nous sommes de retour à bord. Pour un petit mois. Sur la Seine.
À tout de suite.
Notre voisin parti, profitons du paysage ! |
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