et ne se ressemblent pas. |
À L'Isle-Adam, les jorus se suivent… |
Au départ de l’Isle-Adam nous avons partagé l’écluse avec l’énorme Magnum qui fait dans les 100 m de long et presque 12 m de large puisqu’il rentrait juste dans cette grande écluse.
Nous sommes ensuite passés devant plusieurs haltes possibles qui n’étaient ni marquées sur la carte (qui date un peu) ni sur le Guide fluvial, (qui date moins). Nous nous sommes arrêtés à Saint-Leu-L’esserent. Nous nous y étions déjà arrêtés lors d’un précédent voyage mais le souvenir que nous en avions : énorme église abbatiale au sommet d’une falaise abrupte, était complètement faux ! L’église est là, la falaise aussi sans doute mais dissimulées par des constructions (plus anciennes que notre passage !)… Impression étrange d’être dans un lieu connu qui ne correspond pas à ce qu’on en attend…
La halte municipale, indiquée au PK 52, est occupée par des épaves flottantes et nous nous sommes arrêtés, comme précédemment, un peu plus loin le long d’un quai qui appartient à un restaurant, loueur de cannes à pêche, entre autres. Le quai est tout pourri, l’éclairage ne fonctionne pas, mais on est au calme, électricité et eau fournies pour 1€/m la nuit.
Jour anniversaire du décès de Van Gogh, Fabi a cueilli un bouquet de fleurs sauvages et j’ai commencé à dessiner un bouquet de dahlias.
31 juillet : St-Leu - Jaux.
Nous avons fait 40 km dont trois écluses. Vous voyez, ça nous arrive d’avancer un peu plus de 10 km à la fois. Cette halte qui, à notre premier passage il y a sept ans était vide est aujourd’hui pleine à craquer et nous nous arrêtons à couple pour la seconde fois du voyage. Belle illustration du manque de haltes de plaisance sur la Seine comme sur l’Oise.
La halte de Jaux |
Étonnante pierre trouvée dans la région. |
En revanche, la circulation sur la rivière est toujours aussi intense à certaines heures et ça fait vraiment plaisir de voir que le trafic fluvial n’est pas mort, au moins sur cet axe. Départ, demain matin.
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