Ça y est, la chaleur est là. Contents quand même de ne pas être dans le Sud-Ouest, mais il fait vraiment très chaud. Demain, je sors le ventilateur pour pouvoir piloter à mon aise.
Ça y est, nous sommes partis. Après un an de séjour à Corbie, même si nous avons fait quelques excusions, à Amiens, à St-Valéry-sur-Somme, cela fait douze mois que l’Ivanka était corbéenne. Il paraît que certains murmuraient que nous étions en train de nous encroûter, de nous sédentariser, de nous enraciner. Mauvaises langues ! Nous sommes partis, et toc !
Nous garderons de très bons souvenirs de cette charmante petite ville. Sa mairie à la Walt Disney, son immense église amputée, son « Simply market » à proximité, son office du tourisme avec la souriante Sylvie, son théâtre où nous avons vu un bon spectacle de Philippe Genty et un film (et où bientôt, on passera « Ma Loute », les pauvres !…), et surtout, surtout, le « chemin du halage », la promenade des chiens qui nous a permit de lier amitié avec Liliane (Gaïa et Mouna) et Andrée (Jimmy, dit Paillasson), de connaître Annie « j’aime les chênes » et Laurent le Picard dont on ne comprend pas tout. Nous nous souviendrons aussi d’Alain et de Fabienne du Peter Pan, qu’ils ont vendu pour redevenir un peu daterre, (mais heureusement, il leur reste un bateau, le Bonheur, tout un programme !), d’Anita et Claude du Sillage et de Bente et Kurt, les Danois de Corbie sur leur superbe Aslaugh (à louer !). Tous gens de rivière, toujours prêts à rendre service.
Nous sommes donc partis ce matin 18 juillet en embarquant Andrée qui avait envie de se balader. Elle descendra une dizaine de km plus loin et rentrera en vélo. Navigation tranquille, chaleur écrasante (pour les Hauts de France !). RAS.
Devinez qui est la passagère ! |
Nous avons profité de n’être pas trop loin de la mer pour manger des salicornes. Vous connaissez ? le capitaine a découvert cette plante « maritime » il y a quelque temps et l’a beaucoup appréciée. Mais attention, à partir d’une certaine date, la salicorne vieillit et – comme tout le monde, té ! –elle durçit à l’intérieur. À acheter en mai et juin ; jusqu’à fin juillet dernier délai !
Tout ce qui est vert, c'est bon. Le centre jaune… c'est dur. |
Et nous sommes sortis de la Somme, pratiquement un an après y être entrés. On a bien aimé et je l’ai écrit au responsable que j’ai eu sur l’internet. À recommander.
Nous nous sommes arrêtés à Péronne, en plein soleil, le jour le plus chaud de juillet, parce que le port, y a pus !
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