Pour ceux qui n'ont connu la gare de Bordeaux que noyée d'échafaudages |
Neufs et déjà rouillés ?… Hum ! |
Partir sous un soleil matinal déjà chaud, rouler dans un train climatisé un peu froid jusqu’à un ciel bordelais rébarbatif et frais avant de monter dans un TGV plus rapide qu’une flèche (Bordeaux Paris en 2 h 10 : on monte, on s’assoit, on cherche un livre, on est arrivé !) et climatisé aussi, ne prépare pas à supporter la moiteur tropicale du métro parisien ni la fraîcheur climatisée épisodique (plus fraîche aux arrêts qu’en route) d’un TGV classique, et encore moins à accepter que la météo disait vrai : il fait plus chaud à Valenciennes qu’à Périgueux !
Ah, c’est bien la peine de traverser la France en biais !…
Le salon "grand voyageur". Sympa pour attendre son train. |
Non, non, elle n'est pas punie, la dame. Elle veut être tranquille ! |
Tout ça pour dire que nous sommes partis et bien arrivés et qu’il ne s’est rien passé de particulier pendant le voyage.
Sur notre ligne.
Parce que ce jour-là, sur la ligne Lille-Nantes, le TGV est entré en collision avec une vache.
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