Notre gros voisin qui prenait beaucoup de place et nous avait découragé de partir - nous craignions encore le retour et les manœuvres nécessaires pour entrer dans un petit endroit, entre deux bateaux flambant neufs et très chers à remplacer - est parti ce matin, sous nos yeux et sous la pluie. Plus de raison de tergiverser. Pierre sent le besoin de mettre en pratique ce que Hein lui a appris. C'est décidé, on y va.
Bon, d'abord attendons que la pluie se calme. Elle tombe drue et le ciel ne nous semble pas très conciliant. Nous partons entre deux averses.
Nous n'allons pas loin : à trois km, on trouve, rive gauche de la Meuse, un port industriel et un port de plaisance qui dépendent de la ville de Cuijk (prononcez : keuk). Nous y sommes déjà allés avec notre courtier-instructeur Hein. Nous réussissons deux accostages parfaitement maîtrisés. Merci Hein !
Après un déjeuner frugal, comme d'habitude, nous décidons d'aller visiter la ville de Cuijk (prononcez : kœq). Nous apprenons qu'elle est à 6 km, mais un charmant yachtman nous propose de nous y conduire en BMW. Qui refuserait ?
Il nous laisse au centre ville en nous disant avec un sourire : sacré distance, hein ?
Nous voici enfin à Cuijk (prononcez : cuijk). La photo de la rue principale prise à 14 h 00 en dira plus que tous les mots. S'y reporter. Nous en repartons immédiatement et rentrerons en 1 h 30, après arrêt boisson à un MacDo (quand on n'a pas le choix…) Le bon côté de la Hollande pour les marcheurs : pas de côtes !
Nous repartons de Cuijk (débrouillez-vous !) et à la vitesse moyenne de 10 km/h, nous nous retrouverons à notre port d'attache où nous accomplirons une bonne manœuvre dont Hein peut être fier.
Crevés mais heureux nous nous octroyons un bon thé et d'excellents biscuits. Faut ce qui faut.
![](https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEixOH2nZziPNnFTWTFA1_jPi-LVSDb58wGH1Ej-GE2V2DWC7Ve7OGSmChI3zNOGlG7vHC3CCV40gRe7g6wrbNWkzh2sEtHNwOi6IKttDkMtG0yQEPCILhay2eP-XvKS8v3TOa_1sG23aDz6/s200/DSC06831.JPG)
Bon, d'abord attendons que la pluie se calme. Elle tombe drue et le ciel ne nous semble pas très conciliant. Nous partons entre deux averses.
Nous n'allons pas loin : à trois km, on trouve, rive gauche de la Meuse, un port industriel et un port de plaisance qui dépendent de la ville de Cuijk (prononcez : keuk). Nous y sommes déjà allés avec notre courtier-instructeur Hein. Nous réussissons deux accostages parfaitement maîtrisés. Merci Hein !
Après un déjeuner frugal, comme d'habitude, nous décidons d'aller visiter la ville de Cuijk (prononcez : kœq). Nous apprenons qu'elle est à 6 km, mais un charmant yachtman nous propose de nous y conduire en BMW. Qui refuserait ?
Il nous laisse au centre ville en nous disant avec un sourire : sacré distance, hein ?
Nous voici enfin à Cuijk (prononcez : cuijk). La photo de la rue principale prise à 14 h 00 en dira plus que tous les mots. S'y reporter. Nous en repartons immédiatement et rentrerons en 1 h 30, après arrêt boisson à un MacDo (quand on n'a pas le choix…) Le bon côté de la Hollande pour les marcheurs : pas de côtes !
Nous repartons de Cuijk (débrouillez-vous !) et à la vitesse moyenne de 10 km/h, nous nous retrouverons à notre port d'attache où nous accomplirons une bonne manœuvre dont Hein peut être fier.
Crevés mais heureux nous nous octroyons un bon thé et d'excellents biscuits. Faut ce qui faut.
2 commentaires:
Que les aventures continuent !!!! Gros bisousss
Guitounet vous a envoyé un lien vers un blog :
Un grand bravo au commandant pour ces manoeuvres délicates d'accostage
et bravo au moussaillon qui a promené les défenses !!! Mais que font
les hollandais à 14 h ? la sieste coquine? Pensées d'un terrien 100%.
Enregistrer un commentaire