Au dix-neuvième siècle les critiques d’art, les experts, les ceusses-qui-savent sont passés, pour la grande majorité, à côté de ce qui représenterait leur époque dans le domaine picturale : Van Gogh étant un exemple des plus célèbres fiasco de la critique d’alors.
Le syndrôme du « faut-pas-qu’je-rate-le prochain » frappe aussi dans d’autres domaines et notamment la prévision météorologique.
Depuis qu’ils ont sous-estimé la force de la tempête de 1999, les services météo ont tendance à en rajouter. Hier matin, les prévisions n’étaient pas réjouissantes : pluie, vent du nord jusqu’à 35 km/heure… nous avons hésité à partir. Mais nous avons bien fait de braver le pessimisme météorologique officiel.
On ne dira pas qu’il a fait chaud, surtout après les journées précédentes où le soleil donnait à plein, mais le vent ne nous a jamais gêné, même à son plus fort qui n’a jamais dépassé les 20 km/heure à vue de nez.
Nous voilà donc à Metz, ville que tous ceux qui connaissent disent superbe, et que je vais redécouvrir, ma dernière visite remontant à mes quinze ans : quelques siècles !…
1 commentaire:
Puisque vous êtes à Metz, soyez aimable de donner mon bonjour au fameux artilleur.
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