Comme toujours, accueil chaleureux dans ces villages. Le maire, la secrétaire de mairie, se mettent en quatre pour nous renseigner, pour trouver la personne qui a la clé de l’église (toujours fermées les églises si l’on veut qu’il y reste quelque chose !), etc. Nous sommes étonnés par la taille et la qualité des propriétés qui forment ces villages qui, malgré tout, ont du mal à survivre. Heureusement, l’école est là pour ça, toute neuve. Un rapide tour de Cusey nous permet de découvrir deux monuments historiques :
La halte est bien équipée en eau et électricité, ce qui nous permet de recharger les batteries à fond. Un peu isolée quand même remarque Fabi qui trouve qu’on voit peu de bateaux sur ce canal. Et, en effet, le long d’un quai de soixante mètres de long nous restons seuls pendant deux jours jusqu’au soir de ce deuxième jour où, coup sur coup viennent s’arrêter, le Kaïros, puis des Anglais, puis des Australiens qui sont obligés de s’amarrer à couple du Kaïros qui prend beaucoup de place.
Port au matin. |
Port au soir… |
Invités à l’heure de l’apéritif par Gil et Marine, l’équipage du Kaïros, nous y rencontrons Éliette, leur passagère suisse. Nous y passerons deux heures agréables à échanger informations et souvenirs. Il est possible qu’Éliette ait trouvé que la conversation tournait un peu trop autour des canaux et des écluses, mais elle était là pour découvrir la vie des gens qui voguent sur les canaux et il y avait d’excellentes chips de betterave rouge, création de Marine, qui pouvaient la consoler de beaucoup de choses. Un régal ces chips !
Le lendemain nous partions tôt dans la brume vers la Bourgogne et la Côte-d’Or. Au revoir, la Haute-marne.
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