Woodenwidget

images à cliquer

lundi 30 juillet 2018

Bruges / Brugge

Avec un g et un s final en français, deux g et pas d’s en flamand, comment vouslez-vous que ces gens-là s’entendent ?
Depuis Ath, changement à Bruxelles, le train nous y conduit en 1 h 50, l’occasion de bavarder avec deux jeunes filles charm… – non ! je n’ai rien dit ! – une de famille marocaine et l’autre de famille africaine, qui partaient à la plage à Ostende malgré d’épais nuages gris et noir parce que la météo avait promis des éclaircies dans l'après-midi. La Marocaine parle flamand, français, arabe et anglais. Pas mal quand quand on vit sur Terre !
Et nous voici à Bruges. 
Vers 10h00, les touristes sont encore rares.


Une ville superbe, avec des maisons bien restaurées dans toutes les rues de la vieille ville, ensemble architectural vraiment remarquable. Il y a beaucoup, beaucoup trop de touristes dans les rues, mais 
Même le McDo est typique ici.

beaucoup, beaucoup moins dans les musées. Primitifs flamands, un Hieronimus Bosh, un Delvaux et un Magritte présentés sobrement dans des salles bien éclairées, un plaisir. Les hôtels sont un peu chers (les touristes !) les restaurants aussi (les touristes, vous dis-je !) mais nous en avons trouvé un qui ne nous a pas déçu : le Tom Pouce sur la place du Burg. 
i sont là !

Ballet incessant des carrioles touristiques
mais on s'arrête quand même pour midi.

Rentrés le dimanche soir, le lundi matin nous trouve suspendus au quai, le bateau penché : le bief s'est en partie vidé dans la nuit à cause d'une fuite à l'écluse aval. 



Avant de partir samedi matin j'avais enchaîné le bateau, pratique courante pour éviter que des plaisantins s'amusent à larguer les amarres en votre absence. Mais la chaîne était un peu courte et la tension telle qu'il était impossible de défaire les deux cadenas qui, faussés par la charge, sont à jeter. Grâce à la diligence des éclusiers tout est rentré dans l'ordre au bout de deux heures.

Aucun commentaire: